Imaginà

Super album ! Comme les précédents ! Le groupe incarne la Corse Viva CORSICA !

Magnifique album comme d'habitude, un peu différent des autres, mais j'adhère et j'adore!

Je ne suis pas Corse et pourtant … superbe album qui me fait vibrer de A à Z..

Une très belle musique d'une très belle île. J'adore.

Magnifique album comme d' ab et oui il faut vraiment être corse pour ressentir cette musique

Certainement le premier album du groupe qui soit aussi mauvais du début jusqu'à la fin. En règle général, tout en n'étant pas 100 % d'excellentissime, les albums contenaient souvent au moins 3 ou 4 perles qui à elles seules valaient l'achat de l'album. Ici, on se demande de qui on se moque : - 4 chansons sur 14 ont exactement le même plan : Départ avec l'extrait d'un traditionnel corse, coeur de la chanson, fin avec un(e) illustre inconnu(e) d'on ne sait où qui vient réciter quelques vers. 4/14, c'est quand même un bien trop gros ratio. - Uniquement de la programmation à part quelques guitares, et de surcroît de la programmation au rabais qui sent le mauvais synthé à des lieues. Une cornemuse en plastique qui fait terriblement pitié, des batteries sans réalisme… L'angoisse ! - Une monotonie de première tellement tout se ressemble : Notez que les refrains de "Eterna" et "Lurra" sont les mêmes, que "Eterna" et "Pietà" reposent sur la même base… - L'album donne la sensation de ne même pas avoir été véritablement masterisé tant les différences de sons et d'ampleurs sont grandes entre les pistes, et du coup les nécessité de re-régler le volume d'écoute très souvent. D'ailleurs, le générique ne mentionne aucun mastering. Et vouais... - Un des slogans de l'album est tiré d'une phrase de Beethoven : "Si tu veux être international, chante ton pays". Paradoxe, c'est certainement dans cet album que le groupe chante le moins la Corse. On saute sans cesse d'une "grande cause" à une autre, d'un couillon qui plante un arbre en Amazonie à un article du code de procédure pénale français, de Mandela à la chute du mur de Berlin, en passant par je ne sais combien d'autres évocations qui font qu'à force de chanter tout le monde, on n'en chante plus aucun. Les références donnent le tournis, on ne sait plus où donner de la tête, et surtout, on se demande vraiment si G.F. Bernardini est au courant que la misère et les grandes oeuvres peuvent exister dès la Corse et dès la France. C'est aussi la grande ambivalence de l'album. Il jongle d'un monocorde accablant à l'audition, à une sorte de frénésie causalo-humanitaire dans un livret complètement décousu… Soit en bref : Un mauvais album, en toute franchise et sans langue de bois, loin des blablas pseudo-humanistes, qui ne laisse espérer qu'une seule chose, que le prochain soit meilleur !!! (Courage les gars, ce ne sera pas bien dur !!!).

Moltu belle canzone,cum'è d'abitùdine

pour mon grand pere , viva corsica .pace salute , i muvrini

Ceux qui aiment tant mieux, ceux qui n'aiment, retournés ecouter NTM !!!😉

pas de renouvellement pas de créativité aucune surprise, il faut vraiment êtren corse pour aimer cet album